Divorce. Et les grands-parents dans tout ça ?

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Comment être « Heureux en Divorce »

Vous encourez des problèmes pendant ou après votre divorce ? Certaines de vos questions restent sans réponse et vous avez besoin d’informations ? 

Notre blog http://heureux-en-divorce.com/ est là pour vous aider à vous y retrouver dans les démarches à suivre afin de mieux vivre votre divorce !

Voici un article représentatif de ceux que vous retrouverez dans le blog en question :

Divorce. Et les grands-parents dans tout ça ?

Les grands-parents sont souvent laissés pour compte pendant ou après le divorce. Leur présence est pourtant importante étant donné qu’ils font partie intégrante de la famille.

Les juges se sont penchés sur la question et ont estimés que les grands-parents devaient disposer d’un droit de visite, au même titre que les parents, et, dans les cas extrêmes, pourraient également se voir confier la garde des enfants.

La nature de leurs droits est variée

Droit de visite

Car les grands-parents participent également à la construction de l’enfant.

Droit de correspondance

Tous les moyens de communication sont envisagés (téléphone, mails, lettre, appel vidéo…) et ces échanges ne devront en aucun cas être interférés ou bloqués de manière malintentionnés.

Droit d’hébergement

De manière ponctuelle les grands-parents ont le droit de recevoir leur(s) petit(s) enfant(s) chez eux.

Comme nous l’avons précédemment dit, dans certains cas extrêmes, où aucun parent n’est jugé apte à obtenir la garde des enfants, les grands parents peuvent se porter volontaires pour les prendre en charge. Cela évite notamment une séparation douloureuse ou un placement dans un foyer, des situations difficiles à éviter dans la mesure du possible.

La mise en application forcée de la légitimité

Si leurs droits ne sont en aucun cas respectés les grands-parents disposent de deux solutions. Avant de s’engager dans un procès il faut effectuer une « tentative préalable de conciliation devant le tribunal d’instance de proximité ». Pour le trouver rendez-vous sur le site suivant :

http://www.fenamef.asso.fr/orange/Ou_sadesser.aspx

Si cette tentative échoue, il faudra malheureusement passer par la voie du tribunal en alertant le juge des affaires familiales (JAF) de votre lieu de domicile. Annuaire des JAF se trouvant sur le site du gouvernement :

http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F2185.xhtml

Des droits qui ont tout de même des limites

Attention tout droit a ses limites, le juge possède la possibilité de résilier les droits des grands-parents sur leur(s) petit(s) enfant(s) dans les cas suivants :

– Le(s) enfant(s) refuse(nt) tout contact.

Les juges favorisent en priorité l’avis de l’enfant, puisque c’est avant tout son bien être qui est en jeu. Ils s’assurent néanmoins que l’enfant n’est pas soumis à une pression extérieure, lui dictant son discours.

– Les grands-parents sont déclarés inaptes à s’occuper d’enfants, on sous-entend ici une incapacité physique.
– Le conflit entre les grands-parents et les parents est jugé comme insoutenable et perturbant pour les enfants.
– Les rencontres avec les grands-parents présentent un caractère dangereux, aussi bien physique que psychique.

Cet article vous a intéressé ? Retrouvez-nous sur notre blog http://heureux-en-divorce.com/ pour d’autres sujets sur le divorce.

Les enfants et le mensonge: comment réagir ?

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C’est habituel et bénin pour un enfant de mentir de temps en temps. Sans cautionner ce comportement, ce n’est pas toujours aussi dramatique qu’on pourrait le croire. Les réactions face au mensonge doivent, elles, dépendre de différents critères tels que l’âge de l’enfant et la fréquence de ceux-ci.

L’âge, premier critère important

Celui qui ne tient pas compte de ce critère ne peut pas comprendre les mensonges. Les enfants qui, avant 6 ans, se créent des histoires, ont juste énormément d’imagination et s’amusent à inventer leur monde. Les mensonges ne sont alors pas destinés à blesser qui que ce soit et ne doivent, en générale, pas inquiéter. Ces enfants ne comprennent juste pas encore la différence entre la réalité et la fiction.

Un enfant peut mentir pour plusieurs raisons. La plupart des mensonges servent à éviter une punition ou tout simplement de devoir faire quelque chose qu’il n’a pas envie de faire. Il est temps, à cet âge-là, de vous asseoir avec votre enfant et de lui expliquer toute l’importance d’être honnête et comment les mensonges peuvent blesser. Quand vous abordez une discussion sur le mensonge, ne lui dites pas qu’il a eu un mauvais comportement. Si l’enfant pense qu’il a mal agi il pourrait mentir à nouveau pour se couvrir.

Entre l’âge de 6 et 12 ans, le mensonge peut juste servir à se sortir du pétrin, en expliquant, par exemple, son retard à la maison. Assurez-vous qu’il y a bien un mensonge car si vous l’accusez et que vous avez tort, vous trahirez la confiance que vous avez l’un envers l’autre. La meilleure punition pour cette tranche d’âge est la sanction TV, téléphone ou jeux vidéos.

Entre 13 et 18 les choses se compliquent car votre enfant se bat pour son indépendance. Les mensonges couvrent souvent une fête ou tout simplement un besoin de liberté. Assurez-vous toujours qu’il y a bien mensonge avant d’entreprendre quoi que ce soit. Laissez lui savoir que vous êtes au courant de la vérité et laissez-lui l’opportunité de donner sa version des faits. Ensuite, prenez les mesures nécessaires et les sanctions adéquates pour lui faire comprendre que ce n’est pas un comportement respectueux et acceptable.

Fréquence et sanctions

Votre enfant peut mentir plus fréquemment s’il stresse et essaie de jongler entre les exigences à la maison, celles de l’école et sa vie sociale. Faites-lui comprendre que vous êtes au courant de ses mensonges, peut-être que cela suffira à les stopper. Soyez présent et dites-lui que vous êtes-là pour l’aider à traverser les difficultés avec lui, que le mensonge n’est pas nécessaire. Si cela ne suffit pas, des sanctions appropriées devront être appliquées.

Quand le mensonge devient-il un problème ?

Dans certains cas, le mensonge de votre bambin est le signe d’un problème plus grave. Si votre enfant ment et qu’il n’est pas en phase avec ses mensonges ou qu’il ne se soucie guère du mal que ceux-ci peuvent provoquer, il serait judicieux de faire appel à un professionnel pour découvrir la raison sous-jacente de ces mensonges. Les mensonges qui sont prononcés pour blesser ou créer des problèmes sont le signe d’un problème plus grave.

Votre enfant vit à 2 endroits différents, chez vous et chez l’autre parent. Vos réactions doivent être cohérentes, consistantes. Si l’un des parents est plutôt laxiste alors que l’autre corrige constamment, il y a confusion dans les signaux que l’enfant perçoit. 2houses vous aide à garder un équilibre dans la vie d’un enfant dont les parents sont séparés. Les outils mis à votre disposition permettent de garder une communication saine entre les parents, sans que l’enfant soit le messager. Le risque que le message transmis par l’un des parents arrive « transformé » selon les envies de l’enfant à l’autre parent est quasi nul 😉

La vie conjugale et les réseaux sociaux

réseaux sociaux

Garder un mariage heureux a toujours été un défi constant pour les couples. Dans le bon vieux temps, la « belle-mère » était la source de conflits dans bon nombre de mariages. Mais aujourd’hui, ce sont les réseaux sociaux qui mettent les mariages à l’épreuve. Selon Divorce-Online, un service juridique britannique, plus d’un tiers des divorces impliquent Facebook. L’American Academy of Matrimonial Lawyers rapporte que plus de 80% des avocats du divorce aux États-Unis voient une augmentation des actions en divorce impliquant des réseaux sociaux. Donc, avec les médias sociaux qui deviennent la forme universelle de communication, comment protéger votre relation ?

Ne publiez rien que vous puissiez regretter

C’est très tentant de vouloir exprimer toute la chaleur et la joie d’un mariage naissant. Avant l’Internet, on se confiait à sa/son meilleur(e) ami(e) autour d’une tasse de café. Pas de grandes implications si l’un ou l’autre mot aurait du être tu. Mais sur les médias sociaux, tout se passe en temps réel ! Et ce n’est plus juste avec un ou une amie que vous partagerez … c’est avec le monde entier. Pendant que vous cherchez un public qui valide vos griefs, vos amis et votre famille ne veulent peut-être pas partager ces informations – et probablement que tout ça vous retombera dessus.

Un bon exemple de partage abusif d’informations est cette femme qui a publié, tous les jours sur Facebook, des plaintes au sujet de son conjoint. Dans un premier temps, ses amis pensaient qu’elle était juste dans une mauvaise passe, qu’elle et son conjoint vivaient une période difficile. Les messages n’ont cessé et sont devenus de plus en plus toxiques et dérangeants. Ses amis, mal à l’aise, ont un par un coupé les ponts. Le couple a finalement divorcé.

Quelle que soit la nature de vos problèmes conjugaux, le partage sur les réseaux sociaux amène un sentiment de trahison et de manque de confiance. Les messages blessants n’apportent rien et vous empêchent d’aller de l’avant.

Pensez aux enfants

Si des commentaires peuvent mettre les adultes mal à l’aise, qu’en est-il des enfants qui ont accès à la page Facebook de leur papa ou leur maman ? En plus d’être très gênant, ça peut les forcer à choisir un camp et favoriser le sentiment d’insécurité. Les enfants ne devraient jamais être mêlés aux conflits conjugaux…sur le net ou ailleurs.

Fixez des limites précises à l’utilisation des médias sociaux 

Tout comme vous surveiller l’utilisation des médias sociaux par vos enfants, votre conjoint et vous devez définir des règles pour vous-mêmes. Rien ne doit être partagé avec le monde extérieur, sauf si vous êtes tous les deux d’accord … même les bons moments. Tout le monde n’a pas spécialement envie de voir les détails intimes de sa vie étalés sur le Web, ou même une photo anodine à vos yeux mais qui pourrait être embarrassante pour d’autres yeux.

Soyez prudent et attentif. Ne lier pas d’amitié avec tout le monde et n’importe qui. Comment vous sentir en sécurité en étant lié d’amitié avec des personnes de relations passées ? Abstenez-vous de poster des commentaires qui pourraient être mal interprétés. Mettez-vous d’accord sur le temps à octroyer sur les réseaux sociaux avant que celui-ci ne devienne un problème.

En partageant vos mots de passe Facebook avec votre conjoint, vous instaurerez la confiance et vous vous aiderez à rester dans les limites convenues. Rappelez-vous que l’ouverture et l’honnêteté aident à construire les bases d’un bon mariage. Et si vous ne pouvez pas poster quelque chose d’agréable … ne postez rien du tout !

J’ai peur de rendre papa ou maman triste…

papa ou maman triste

L’ingrédient principal d’une coparentalité réussie, c’est la communication. Les parents doivent communiquer entre eux de manière aimable et efficace, et faciliter également la communication entre les enfants et l’autre parent ainsi qu’entre frères et sœurs.

Communication

Les enfants se reprochent souvent la séparation de leurs parents pour comprendre ce changement déroutant et effrayant de leur vie. C’est primordial de rassurer votre enfant et de lui faire comprendre qu’il n’est en rien responsable de ce qu’il se passe. En insistant sur ce message, vous pouvez éviter l’anxiété et les ressentis que votre enfant pourrait percevoir comme « la perte d’un parent ».

Avoir des parents séparés qui vivent à des endroits différents peut être perturbant pour les enfants et les mener à penser qu’ils doivent choisir entre « maman » ou « papa ».

Voici quelques conseils pour aider votre enfant à faire face à ce sentiment de « choix »:

  • Dites à votre enfant qu’il n’aura jamais à choisir entre son papa et sa maman
  • Faites-lui savoir que c’est normal de vouloir passer du temps avec l’un ou avec l’autre
  • Faites-lui comprendre que vous souhaitez qu’il passe du temps avec l’autre parent
  • Ayez une communication ouverte de sorte que votre enfant ne se sente pas mal à l’aise de vous dire qu’il a envie de passer du temps avec l’autre parent

Les enfants ont souvent du mal à communiquer ouvertement lors d’un divorce ou d’une séparation parce qu’ils craignent que leurs parents soient tristes s’ils ne prennent pas parti pour l’un ou pour l’autre.

Des questions comme « Maman va être triste si je veux passer le weekend chez papa ? » ou « Est-ce que papa va être fâché si maman m’emmène faire du shopping ? » sont habituelles pour des enfants de parents séparés. En encourageant la communication ouverte, rassurez votre enfant, faites-lui comprendre qu’il n’est pas coupable et que ni papa, ni maman ne seront blessés ou tristes par rapport à ses demandes. 

Organisation

Avec la communication, l’organisation est essentielle pour éviter de nombreux soucis aux enfants de parents séparés. En gardant une organisation sur la vie de vos enfants, la coparentalité sera un partenariat enrichissant plutôt qu’un source de conflits. Des gestes simples, comme appeler l’autre parent si vous êtes en retard ou si vous changez vos plans, éviteront les tensions inutiles et satisferont tout le monde.

Des outils tels que ceux qu’offrent le site internet 2houses et son application mobile  vous permettent, ainsi qu’au coparent, d’avoir une source commune d’informations pertinentes au sujet de votre enfant. Un calendrier interactif, un journal de communication, un album photo, un journal des dépenses partagées, une banque d’informations sont là des exemples de ce qui est à votre disposition sur www.2houses.com.

En utilisant 2houses, qui vous permet de synchroniser les informations instantanément sur votre téléphone, vous saurez toujours où, quel jour et à quelle heure vous devez récupérer vos enfants ! En quelques clics, la dernière paire de chaussures achetée sera enregistrée et votre enfant ne sera plus pris comme messager.

En mettant l’accent sur la communication positive et en ayant un minimum d’organisation, le divorce ne doit pas être la fin d’une famille, mais peut, au contraire, être le début de la coparentalité d’une famille aimante, liée par le respect, la joie et le bonheur.

 

 

La place d’un(e) nouveau/nouvelle partenaire dans l’éducation de mes enfants

enfants - 2houses

La sécurité et le succès et de votre enfant dans la vie dépendent d’une bonne éducation. Il est donc compréhensible qu’en tant que parent, vous vous sentiez «responsable et protecteur » de celle-ci.

Mais maintenant, avec un(e) nouveau/nouvelle conjoint(e) dans les parages, les décisions parentales deviennent plus compliquées.

Si votre conjoint(e) semble imposer son autorité là où vous préféreriez avoir le dernier mot, c’est que peut-être il/elle ne sait pas quel rôle il/elle doit adopter. Cependant, gardez à l’esprit qu’un beau-parent a les meilleures intentions pour votre enfant, et ces nouveaux conflits familiaux disparaîtront…

Communication avec un grand C

La meilleure façon d’établir une base solide pour votre nouvelle famille et de prévenir les conflits c’est… La Communication. Si l’éducation est la question qui vous tracasse, ayez une discussion ouverte et sincère avec votre conjoint(e). Si vous êtes capable d’écouter et d’entendre les points de vue de chacun, vous constaterez que vous n’avez finalement pas une vue si différente. Il ne restera plus qu’à déterminer qui prend en charge les questions d’éducation et qui se fait allié et défenseur.

Définir le rôle de votre partenaire

Dites à votre conjoint(e) que ses idées ont beaucoup de valeur, mais que vous voulez être en charge de l’éducation de votre enfant. Proposez à votre conjoint d’être un conseiller et un soutien plutôt que quelqu’un qui prend des décisions ou exerce une autorité.

Les beaux-parents qui sont impliqués, intéressés et qui sont un soutien pour la famille peuvent apporter beaucoup plus que d’essayer de prendre le contrôle. Les luttes de pouvoir créent un environnement stressant qui n’est pas sain pour les enfants. En outre, les tensions vont perturber la relation que votre conjoint(e) tente de développer avec votre enfant. Un environnement optimiste et efficace encourage l’apprentissage.

 Apprendre avec un beau-parent

L’éducation ne se limite pas à l’école, aux devoirs et aux bonnes notes. L’apprentissage peut être enrichi par un beau-parent qui est prêt à consacrer et partager du temps avec votre enfant.

Les opportunités d’apprendre ensemble peuvent être aussi simples que de lire un livre ou de ranger la chambre. Si votre conjoint(e) est un(e) passionné(e) de la nature, une promenade dans les bois, à explorer la végétation ou découvrir les différentes variétés d’arbres, sera appréciée par la plupart des enfants. Une leçon de tennis ou de golf sera une opportunité de rapprochement tout en apprenant quelque chose de nouveau. Votre nouveau conjoint aime l’art et la musique ? Encore un univers à faire découvrir à vos enfants…

Ces passe-temps encourageront votre nouveau(lle) partenaire à faire partie de la vie de votre enfant. Et, passer du temps ensemble à visiter un musée, un zoo ou quelqu’activité amusante que ce soit, renforce la relation entre beau-parent et enfant.

Votre ex conjoint élève vos enfants d’une façon très différente de ce que vous estimez être « la bonne façon » ? Tant mieux !

éducations différentes - 2houses

Vos enfants seront alors riches de deux éducations, plutôt que d’une seule. La « bonne façon » d’élever les enfants ne révèle que vos conditionnements et vos croyances, les idées que vous vous faites de comment il faut élever les enfants pour qu’ils soient des personnes bien et heureuses.

Et il se peut que votre conjoint ait des idées très différentes sur le sujet, car il a été élevé autrement, ou qu’il a intégré d’autres expériences que les vôtres. Sa vision est différente, elle n’est pas plus ou moins juste que la vôtre. Car en matière d’éducation comme en toute chose, il n’est pas une vérité, que justement vous détiendriez…

Et vos valeurs, direz vous ? Vous souhaitez transmettre des valeurs à vos enfants et ne voulez pas qu’elles soient contredites, ou sapées par l’autre parent…C’est justement là que l’absence de jugement entre en ligne : si vous luttez contre la façon dont votre ex conjoint éduque vos enfants, si vous luttez contre ses comportements ou l’absence de valeurs, alors ce que votre enfant vivra, c’est le conflit et la confusion, et ce sera le fond de ses valeurs…

Si au contraire, vous vous détendez sur le sujet, vous abandonnez l’idée de contrôler ce que fait l’autre, vous laissez votre ex conjoint élever vos enfants comme il l’entend, sans jugement, et que vous, par votre comportement, vos actes et vos dires, vous transmettez à vos enfants ce qui est le plus précieux pour vous, alors vos enfants intégreront pleinement vos valeurs, et en plus, ils intégreront les valeurs de l’autre parent. Ils seront deux fois riches, alors que si vous êtes en lutte de peur que l’autre sape votre travail, ils seront deux fois pauvres, et perdus.

Lutter contre renforce ce contre quoi on lutte. En revanche, œuvrer pour, en l’occurrence la transmission de vos valeurs à vos enfants, donne de beaux fruits.

Hélène Mélikov, le 27 mars 2014

Comment réconcilier vie professionnelle et vie privée après une séparation ?

vie privée et professionnelle - 2houses

Après un divorce, votre vie change inévitablement et vous devez vous adapter pour reprendre une vie normale. Vous devez réapprendre à combiner vie professionnelle et vie privée. Malgré toutes les difficultés que vous traversez, vous ne pouvez pas laisser votre travail et votre famille en pâtir. En particulier, vous devez vous assurer que vos enfants gardent une vie aussi stable que possible. Cela peut sembler dur à accomplir mais, avec quelques conseils et des bons outils, vous pouvez réconcilier votre vie professionnelle et votre vie personnelle et ce, même si vous êtes séparés.

Vie privée

Votre vie privée correspond à tout ce qui à un attrait avec votre famille comme l’éducation de vos enfants, la relation avec votre ex-partenaire ou vos amis, la gestion de votre foyer, etc … Lors d’une séparation, vous mettez, inconsciemment, votre vie personnelle entre parenthèses. Pour éviter cela, prévoyez du temps pour voir vos amis. Une soirée entre “mecs” ou entre “filles” pourrait être ce dont vous avez justement besoin pour vous changer les idées.. En plus, c’est une excellente façon de garder votre esprit occupé et de ne pas penser à la séparation. Essayez d’appeler vos amis de manière régulière afin de ne pas perdre contact lors de l’organisation de votre nouvelle vie. N’oubliez pas non plus votre famille. Ils peuvent faciliter votre transition vers cette nouvelle vie. Trouvez des activités familiales à faire avec vos enfants, cela stimulera votre cohésion. De plus, vos enfants apprécieront le temps supplémentaire que vous leur accordez.

Vie professionnelle

Votre vie professionnelle concerne tous les aspects de votre travail, que ce soit votre job actuel ou même les lunchs au bureau. Une séparation peut vous mener à ne plus réaliser votre travail aussi efficacement qu’avant la rupture. Souvent, vous ne ressentez pas le besoin de sortir avec vos collègues ou de participer à des évènements organisés par la société. Pourtant, la meilleure chose à faire est d’y participer et de s’y impliquer. Gardez l’esprit actif et concentrez vous sur des choses positives.  Si vous vous sentez mal pendant vos heures de travail et que votre divorce envahit vos pensées, n’hésitez pas à faire de courtes pauses pour évacuer et respirer. Par exemple, essayez de consacrer quelques minutes par jour à l’écriture d’un journal personnel ou alors, profitez de vos pauses pour vous divertir avec vos collègues. Essayez de trouver vos propres astuces pour contrôler vos émotions. Grâce à cela, vous évitez de mélanger vie professionnelle et vie privée. Utilisez le temps de trajet jusqu’à votre travail pour faire le point sur votre vie privée. Vous éviterez donc d’amener votre vie personnelle sur votre lieu de travail. Faites vous la promesse de laisser vos émotions sur le pas de la porte. Dès que vous entrez dans votre bureau, vos pensées doivent être focalisées sur votre business.

Savoir trouver l’équilibre entre vos enfants et le reste de votre vie

Pendant la période de séparation, vous devez apprendre à revenir à une vie stable tout en conjuguant vie professionnelle et vie personnelle avec vos enfants. Durant ces moments difficiles, ceux-ci ont plus que jamais besoin de votre présence et de votre attention. Tout d’abord, programmez une heure à laquelle vous dînez tous les soirs en famille. Cela vous permettra de discuter mais surtout d’être à l’écoute de vos proches. Vous vous sentirez mieux, et donc, vos enfants aussi. Ensuite, vous devez garder à l’esprit que vous avez plus de responsabilités maintenant que vous avez vos enfants quelques jours par semaine.

Heureusement, il existe des outils online tel que 2houses qui offre un calendrier adapté pour suivre la vie de vos enfants même s’ils ne sont pas avec vous. De cette manière, vous pouvez organisr votre vie professionnelle ainsi que votre vie privée ensemble. 2houses dispose également d’une banque de données qui vous permet, à vous et à votre ex, de créer un répertoire d’adresses utiles pour l’enfant ainsi qu’une liste d’informations médicales à retenir. Toutes ces informations sont disponibles sur Internet pour chaque parent. Vous pouvez donc les lire et les éditer comme bon vous semble, vous rendant la vie plus facile et vous aidant à jongler entre votre vie professionnelle et vie personnelle. De plus, 2houses vous permet de partager de nombreux documents.

Avec tant de choses, vous pourriez vous sentir un peu débordé. Ne vous inquiétez pas, tout reviendra dans l’ordre en temps voulu. Le plus important est de prendre du temps pour vous et d’utiliser les outils disponibles pour vous aider à trouver un équilibre dans votre vie. Pour cela, n’hésitez pas à essayer gratuitement les différents outils 2houses.

Comment éviter la jalousie entre les enfants ?

jalousie entre les enfants - 2houses

On le sait, les enfants sont extrêmement sensibles. Ils doivent apprendre beaucoup en un minimum de temps. Leur cerveau est donc programmé à imiter, à répéter le comportement des adultes. C’est pourquoi les parents tentent  de cacher leurs émotions à leur(s) enfant(s), spécialement lorsqu’ils ressentent de la colère, du doute ou même de la jalousie. Cependant, cacher ses émotions à des enfants n’est pas aussi facile qu’on pourrait le penser. Dans certaines familles où les problèmes relationnels sont omniprésents, la jalousie entre enfants est souvent le reflet des conflits entre les parents.

Une chose doit être claire pour les parents: il est parfaitement normal que les enfants éprouvent de la jalousie entres eux à un moment donné. Nous sommes tous humains et nous avons tous, occasionnellement, certaines tendances égoïstes. En effet, rares sont ceux pour qui la vie s’est montrée juste ! Il est inévitable que les enfants perçoivent quelques traces de favoritisme dans votre comportement. « Ce n’est pas juste! » et « Maman t’a toujours préféré ! » sont des paroles qu’on a pas fini d’entendre. Quand la jalousie entre frères et/ou soeurs devient persistante voire violente, le problème doit être abordé avec fermeté mais également avec compassion. Une jalousie grandissante peut entrainer un égoïsme sur-dimensionné chez l’enfant. Cela se traduit souvent par des crises de colère ou de pleurs. Il s’agit, en fait, de problèmes courants rencontrés par les enfants de famille séparée. Ces enfants en difficulté méritent une attention et un soutien supplémentaires, pas qu’on les condamne ou qu’on les pointe du doigt.

La meilleure façon d’éviter ces querelles est de fréquemment rappeler aux enfants qu’ils sont uniques et qu’ils restent votre priorité quoiqu’il arrive. Voici quatre façons d’aider les enfants à résoudre leurs différends  et à devenir amis pour la vie comme le sont de véritables frères et soeurs.

  • Poussez-les à s’entraider

Que ce soit lors de grosses disputes ou de simples chamailleries, n ‘intervenez pas systématiquement pour trancher. Offrez-leur des alternatives. Par exemple, rappelez-leur tous les bons moments qu’ils ont partagés ensemble et éloignez-vous ensuite. Laissez-leur du temps pour parfaire leur compréhension de l’autre à travers des jeux collaboratifs.

  • Donnez-leur confiance en eux

Peu importe ce que les autres possèdent tant que vous êtes heureux dans votre propre vie. Il est primordial de rappeler cet adage à vos enfants. Chérissez-les et montrez-leur à quel point ils sont importants pour votre propre équilibre.

  • « Partez en mer »

L’une des métaphores les plus pertinentes pour décrire la relation qui unit les membres d’une famile est « Le bateau en mer ». En effet, les membres d’équipage, aussi différents soient-ils, sont obligés de travailler ensemble afin de traverser les tempêtes. Essayez de lire un livre ou de regarder un film sur un groupe d’individus d’horizons différentes qui doivent s’unir pour atteindre un but commun. Le film « Pirates des Caraïbes »: Jusqu’au bout du monde » en est un très bon exemple. Il montre deux équipes que tout oppose et les avantages de leur collaboration.

  • Planifiez une journée à l’extérieure

Une fois dans un environnement plus vaste, les petites disputes s’atténuent et on apprend à relativiser. Sortez vos enfants des murs qu’ils ont l’habitude de voir quotidiennement et montrez-leur le monde extérieur. Utilisez l’agenda 2houses et planifiez un séjour qu’ils n’oublieront pas de sitôt.

Préparez votre portefeuille au divorce

divorce

Si vous sentez qu’un divorce est inévitable, prenez l’initiative de planifier vos finances ainsi que votre budget avant de débuter l’action en divorce. Si vous vous êtes bien préparé financièrement, la transition vers une vie après le divorce en sera facilitée. Partez à la rencontre de votre conseiller financier, utilisez les ressources en ligne et créez votre propre “équipe de divorce”. De cette manière, vous connaîtrez tous les détails importants relatifs à la procédure de divorce. Cet article vous donne quelques suggestions pour vous aider à vous lancer dans le processus et vous simplifier ce parcours du combattant.

Prenez rendez-vous avec un conseiller financier et un notaire

Établissez un agenda pour rencontrer un conseiller financier afin d’examiner vos comptes bancaires. vos polices d’assurance-vie, caisses de retraites et d’autres documents financiers importants. Si ces comptes sont à votre nom, votre conseiller va s’assurer que les bénéficiaires soient bien les bonnes personnes et que les fonds investis correspondent à votre situation. Un notaire peut aussi vous aider à élaborer un nouveau testament ou vous donner des conseils sur l’obtention de nouveaux devis d’assurance. Il est également compétent pour vous conseiller sur votre situation fiscale. Soyez bien entouré car d’autres questions fiscales finiront par apparaître, surtout si vous avez des enfants.

Ouvrez vos propres comptes bancaires

Si vous ne possédez pas encore vos comptes bancaires personnels ou vos propres cartes de crédit, ouvrez-les maintenant et commencez à les utiliser le plus tôt possible. Après un divorce, il est plus difficile d’obtenir un crédit surtout si vous êtes une femme au foyer et que vous avez mis votre carrière professionnelle entre parenthèses. Alors que lorsque vous étiez marié, vous pouviez vous appuyer sur votre patrimoine commun pour votre demande de crédit.

Passez en revue votre rapport de crédit

Obtenez votre rapport de crédit et examinez tout ce qui peut ternir votre historique de crédit. Si des erreurs sont présentes dans le rapport, prenez les mesures nécessaires pour les corriger au plus vite. Rembourser les dettes que vous avez pour améliorer votre capacité de crédit.

Familiarisez-vous avec les ressources en ligne

Vous pouvez trouver des outils en ligne et des applications mobiles pour gérer les dépenses du ménage après le divorce. Il existe d’excellents outils qui enregistrent les dépenses et les revenus afin de garder les comptes bancaires équilibrés. Ils sont particulièrement utiles lorsque vous avez des enfants. Si le juge vous a condamné à verser une pension alimentaire à l’autre parent, notre outil en ligne 2houses vous enverra des rappels spécifiant que le paiement n’a pas encore été effectué. Grâce à cela, vous évitez les conflits inutiles avec votre ex-partenaire.

Conclusion

Lorsque vous sentez qu’un divorce est imminent, vous éprouvez beaucoup d’émotions allant de la tristesse au souci d’être en paix avec son esprit. En gardant un oeil sur vos finances actuelles, surtout si elles sont gérées par votre conjoint, vous acquerrez de la confiance et sécuriserez votre avenir. Prenez contact avec des professionnels et ayez des ressources en ligne à portée de main pour préparer au mieux votre nouvelle vie de célibataire avec ou sans enfants.

Mettez vos émotions de côté pour le bien de vos enfants !

émotions de côté - 2houses

Le divorce est un événement douloureux face auquel de plus en plus de parents se retrouvent confrontés. La rupture d’un couple ne concerne pas uniquement les parents, elle a également un impact énorme sur leur(s) enfant(s). La rancœur qui anime un ex-couple rend les enfants mal à l’aise et complique leur adaptation à cette nouvelle vie. C’est la raison pour laquelle il est vital de savoir mettre ses rancunes sur le côté pour ne pas les déstabiliser.

1. Ne déversez pas votre colère sur votre enfant

Vos enfants ne veulent pas entendre que leur papa est un menteur compulsif ou un bon à rien. Ils ne veulent pas savoir à quel point vous détestez leur mère lorsqu’elle invite son nouveau conjoint à faire des activités avec eux. Rappelez-vous qu’il s’agit également d’une phase délicate pour vos enfants. Si vous n’avez rien de positif à dire sur votre ex-partenaire, alors il est préférable de ne rien dire du tout. Après tout, vous ne voulez pas influencer négativement les sentiments de vos enfants portent à l’égard de leur autre parent.

2. Évacuez votre frustration

Lors de la rupture, il est fort probable que vous traversiez quelques moments particulièrement difficiles. Il peut vous arriver de passer de très mauvaises nuits durant lesquelles vous souhaitez tout le malheur du monde à votre ancien conjoint. Cependant, vous devriez évacuer votre frustration avant de discuter avec votre ex. En d’autres termes, vous devez oublier toutes les fautes commises par votre ex et ne surtout pas croire que ses fautes vous promettent la garde exclusive de l’enfant. Si vous n’arrivez pas à mettre cela de côté, commencez une activité physique pour évacuer votre frustration. Vous pouvez aussi consulter un thérapeute ou plus simplement parler à des amis si vous le souhaitez. Mais assurez-vous, avant tout, de diriger votre colère sur autre chose que votre ancien conjoint.

3. Concentrez-vous sur les enfants

Gardez à l’esprit que vous devez montrer l’exemple à vos enfants. Lorsque vous parlez à leur autre parent, soyez respectueux et ne mentionnez pas votre vie passée ensemble. Orientez la conversation sur des problèmes directement liés aux enfants comme leur éducation ou quel parent ira les chercher chez leurs copains ce week-end.

4. Demandez mais n’exigez pas

Personne n’aime qu’on lui dise quoi faire, surtout lorsque cela vient de son ancien partenaire. Commencez toujours les conversations où vous voulez quelque chose par une question. Par exemple, dites « Es-tu d’accord que je reprenne les enfants ce week-end et tu les prendras le week-end prochain? »

5. Faites des compromis

Peu importe les sentiments que vous éprouvez à l’égard de votre ex conjoint, soyez toujours prêt à faire des compromis. Vous avez pas besoin de vous disputer pour le moindre problème comme l’heure du coucher des enfants ou encore l’heure à laquelle ils doivent faire leurs devoirs. Cependant, pour des problèmes plus importants, chacun des parents devra faire des concessions afin de parvenir à un accord.

6. Tenez l’autre parent au courant

Mettez de côté votre animosité et communiquez avec votre ex-partenaire. Tenez-le régulièrement au courant des activités des enfants. Même si nous ne désirez pas que votre ex-conjoint vienne voir la pièce de théâtre des enfants avec son nouveau partenaire, vous devez quand même l’informer de l’agenda des enfants. Ce ne serait pas juste vis-à-vis de ceux-ci ainsi que de votre ex de lui cacher ce genre d’informations.

Même si cela ne semble pas aller dans votre intérêt, il est important de respecter ces quelques consignes. Vos enfants sont votre priorité et vous ne voulez pas que quelque chose perturbe votre complicité, même si cela signifie être gentil avec quelqu’un qui vous a blessé.