Garde partagée et fête des mères : comment faire si c’est la semaine de papa?

fête des mères

La fête des mères et la garde partagée sont laborieux — si c’est au tour de papa, quelle est la meilleure manière de gérer cette journée?

Si pour vous la fête des mères est très importante émotionnellement, vous n’êtes pas seule. Organiser la garde des enfants n’est pas facile — surtout si des congés ou des jours spéciaux s’y installent — mais rien n’est impossible.

Vérifier d’abord votre accord parental

D’abord, mettez-vous à niveau sur l’essentiel. Vérifiez votre accord parental et regardez s’il inclut une exception pour la fête des mères. La plupart du temps, des clauses spéciales sont introduites dans ce document (Fête des mères, fête des pères, etc).

Ensuite, s’il y en a un, vous avez de la chance : la garde est plus simple quand tout est inscrit noir sur blanc dans un document. Même si c’est la semaine de papa, la clause pour la fête des mères vous garantira la garde des enfants pour ce jour spécial.

Ce n’est pas toujours si simple

Evidemment, la vie n’est pas toujours aussi simple. Si vous vérifiez votre accord parental et qu’il n’y a pas de clause spéciale, la meilleure solution qui s’offre à vous est le dialogue avec votre ex. Prenez le temps de parler avec le parent de vos enfants et voyez s’il est possible d’arriver à une entente.

Fondamentalement, demander la garde des enfants pour des jours spéciaux est un peu comme demander une faveur. Légalement, le père ne peut pas décider pour vous — gardez ça à l’esprit! Présentez vos arguments gentiment, d’une manière agréable et essayez de garder vos émotions en-dehors de votre discussion. Lorsque la colère vient en jeu, les chances d’atteindre un accord disparaissent.

Vous pourriez avoir des recours légaux

Même si votre accord parental ne vous permet pas d’avoir la garde lors de la fête des mères, vérifiez les lois et règlements de l’endroit où vous vivez. Certains pays et états, comme le Texas aux Etats-Unis, ont des prescriptions pour autoriser les mères à avoir leurs enfants le jour de la fête des mères. Donc, ça vaut le coup de vérifier ou d’appeler votre avocat!

Comme alternative, vous pouvez également changer votre contrat parental existant. Vous n’avez qu’à discuter avec votre avocat pour modifier l’accord de garde. C’est une grande étape — qui n’est pas facile — donc n’y pensez qu’en dernier recours. Il est toujours préférable d’arriver à un accord mutuel avec votre ex-partenaire.

Ce qu’il ne faut pas faire

Cela va sans dire, mais respectez toujours les règles de votre contrat parental. Si les visites ou la garde ne sont pas accordées pendant la fête des mères, respectez la clause établie par la loi. De plus,  si votre partenaire viole l’accord de garde, rappelez-vous que la loi est de votre côté.

Quelques conseils pour arriver à un accord de garde

En fonction de la relation que vous entretenez avec le père de vos enfants, il peut être difficile d’arriver à un accord pour la fête des mères.

Offrez un peu de quid pro quo. La fête des mères en échange de la fête des pères peut fonctionner comme compromis. De plus, selon les spécificités de votre contrat de garde, vous pourrez peut-être échanger les jours de visite. En général, essayez d’être poli et courtois — au plus vous essayez de faire en sorte que tout aille bien avec votre ex, au mieux ça ira.

Offrir un week-end de compensation est un excellent moyen de montrer de la bonne volonté à votre ex-partenaire. Le fait que vous montriez que les enfants doivent passer autant de temps chez chaque parent sera très apprécie!

Tout tourne autour de la communication

La fête des mères est un moment où les émotions risquent de prendre le dessus. Gérer le problème de garde alternée n’est pas évident — même si on aimerait que ça le soit — donc, prenez le temps de communiquer.

Regardez s’il est possible de switcher les jours de garde pour faire de la place à la fête des mères. Alternativement, offrez des jours de « récupération » pour adoucir l’offre. De plus, vous pouvez également modifier votre contrat de garde et inclure des jours de garde à des moments spécifiques.

Peu importe la voie que vous prenez, la clé est de communiquer avec le père de vos enfants.

Comment inviter mon co-parent sur 2houses?

Vous venez d’arriver sur 2houses mais vous ne trouvez pas votre chemin? Pas de problèmes, nous mettons en place des vidéos tutorielles afin de vous aidez au mieux à votre arrivée sur 2houses!

Voici donc une des premières manoeuvres que vous ferez probablement sur votre compte : inviter votre co-parent.

Nous espérons que ceci vous sera utile!

5 activités à faire à Pâques avec les enfants

pâques avec les enfants - 2houses

Pâques arrive au meilleur moment – le printemps est bien présent, la météo devient meilleure, et il est possible de s’amuser pleinement. Si vous vous demandez comment passer de bonnes Pâques avec vos enfants, ne vous en faites pas, nous vous présentons 5 activités à faire.

Peindre des oeufs pour Pâques

C’est un classique et ce, pour de bonne raisons : c’est amusant et ça permet de créer de supers souvenirs. En plus, il ne faut pas beaucoup de matériels. Il vous suffit d’acheter des oeufs, de choisir votre peinture (certaines enseignes proposent des kits exprès pour peindre des oeufs de Pâques), et vous voilà prêt à peindre vos oeufs!

Evidemment, vous pouvez aller plus loin qu’une simple couleur. Testez la limite créative de vos enfants ; défiez-les à peindre l’oeuf aux couleurs de leur super-héro préféré, par exemple. Paillettes, peinture et des marqueurs feront de vos oeufs de vrais chefs-d’oeuvre!

pâques avec les enfants - 2houses

La chasse aux oeufs

Vous trouverez facilement des chasses aux oeufs dans votre région, mais n’ayez pas peur d’en organiser une vous-même! Cachez des oeufs dans les meilleures cachettes qui vous passent à l’esprit (ne vous en faites pas, ça fonctionne bien à l’intérieur aussi) and voyez vos enfants chercher sans relâche!

Pour pimenter les choses, un « aide mémoire » avec quelques indices n’est pas une mauvaise idée. Par exemple, indiquer aux enfants qu’il y a 5 oeufs dans la cuisine leur feront chercher dans les boîtes de céréales, dans le réfrigérateur, et chercher autour des luminaires. Evidemment, ils devront nettoyer le désordre qu’ils ont causé – Le nettoyage de printemps commence ici!

Le roulement des oeufs de Pâques

Une poignée d’oeufs, de longues cuillères et vous être prêts. Le roulement des oeufs est une activité de Pâques amusante avec beaucoup de diversités. Traditionnellement, vous faites « la course » pour voir qui saura faire rouler son oeuf le plus vite dans l’herbe. Il existe de nombreuses variations : faire rouler un oeuf de sorte à ce qu’il tombe de la colline est une bonne manière de changer les traditions (même si c’est très compliqué).

pâques avec les enfants - 2houses

Des Jelly Beans à foison!

Les Jelly Beans sont de petits bonbons colorés un peu étranges et polyvalents. Prenez le traditionnel « Jelly Beans Guessing Name » (devinez le goût des Jelly Beans) par exemple. Remplissez un pot avec ces friandise, demandez aux enfants de deviner le nombre présent à l’intérieur et comptez-les. Le gagnant pourra « se gaver » d’un des snacks les plus addictifs de pâques.

Si vous voulez rendre les choses plus corsées (voire un peu dégueu), choisissez une variante du jeu « trouvez le goût ». Il est facile de trouver des paquets avec des goûts spéciaux, étranges et pas forcément savoureux. Demander aux enfants de trouver la différence entre cerise, fraise, pomme-de-terre et « chaussettes puantes » va assurément en faire rire plus d’un!

C’est le moment de jardiner

Oeufs, poules et Jelly Beans offrent une merveilleuse fête de Pâques. Mais qu’en est-il d’un activité qui dure dans le temps?

pâques avec les enfants - 2houses

Entrez dans le jardin de Pâques!

Si vous avez la chance d’avoir un jardin, Pâques est le meilleur moment d’en faire quelque chose d’agréable. Si vous n’avez pas d’extérieur, alors, une jardinière/jardinière de fenêtre est une très bonne alternative.

N’hésitez pas à planter des fruits et légumes de printemps, sans oublier la fleur de Pâques par excellence ; le lis blanc. Les tulipes, les pâquerettes et les jacinthes sont une très bonne alternative!  Ajouter de l’azalée pour ajouter de la couleur et voilà, vous pourrez profiter avec vos enfants d’un magnifique printemps coloré pendant des semaines.

Pâques ne doit pas être compliqué

Vous constaterez que le printemps offre de nombreuses activités : sortir, faire de l’exercice and laissez la météo parler d’elle-même. Si le temps ne le permet pas, toutes les activités citées ci-dessous peuvent être réalisées à l’intérieur (faites attention aux oeufs). Faites des activités traditionnelles et passez une excellente Pâques avec vos enfants!

Surmonter une rupture : 5 conseils pour gérer ses amis en commun après une séparation

surmonter une rupture - 2houses

La fin de votre relation amoureuse ne signifie pas la fin de votre relation avec vos amis en commun. Cela peut sembler intimidant et confus, mais maintenir une relation saine avec votre entourage fait également partie de votre re-construction personnelle.

Si vous êtes séparés et que vous aimeriez savoir comment vous en remettre, alors cet article est fait pour vous. Le divorce reste entre vous et votre compagnon – rester en contact avec vos amis en commun est définitivement réalisable!

1: Ce n’est pas une histoire de parti

Les divorces, même ceux sans problèmes,  peuvent soumettre une pression aux amis en commun. Si votre première envie est de « diviser » vos amis, essayez d’avoir des pensées positives. Les vrais amis respectent les choix de chacun. Au plus vous essayez de faire en sorte que vos amis choisissent un clan, au plus vous leur infligez du stress.

Rappelez-vous pourquoi vous étiez amis;  vous appréciez la compagnie de chacun – rappelez-vous de ça!

2: Gardez une attitude positive quand vous vous séparez

Mettez vous à la place de vos amis. Cette personne veut garder de bons contacts avec vous et votre ex. C’est préférable de garder vos problèmes  et ragots pour vous et non avec vos amis.

Non seulement vos commérages reviendront vous hanter, mais il vous sera préférable de les respecter. Restez concentré sur les relations que vous avez créées plutôt que le reste.

3: Oui, il est normal de perdre des amis

Prenez une grande respiration. Il est rare que vous restiez ami avec tout le monde. Il est tout à fait normal que certaines relations soient en « paire » – vous et votre ex, par exemple – donc ne vous tracassez pas si certains de vos amis s’éloignent de vous.

Nous avons tous des personnes dans notre entourage qui disparaissent petit à petit ; c’est la vie.

Ne vous attendez pas à rester ami avec le meilleur ami de votre ex, il est normal que chacun se tourne vers ses relations préférées. Laissez le temps faire les choses, vos vrais amis resteront toujours à vos côtés.

4: La communication est la clé

Ca peut paraître cliché, mais la communication est réellement la clé. Si possible, communiquez avec vos amis afin de savoir si votre ex sera présent lors de votre sortie. Demandez-vous si vous êtes d’accord de croiser votre ex pendant une sortie entre amis. Si vous préférez limiter le contact, mais que cela ne vous dérange de le croiser de temps en temps, c’est une bonne chose – vous ne devriez ressentir aucune pression  par rapport à ça. Si vous préférez ne plus avoir aucun contact, alors communiquez-le avec vos amis.

Après tout, vos amis sont autonomes et intelligents. Mettez les choses au clair si vous voulez ou non voir votre ex pendant vos sorties. Vos amis vous tiendront au courant!

Evidemment, si possible, discutez avec votre ex à propos de vos relations mutuelles et de celles que vous désirez réellement maintenir. Si votre ex vous demande de ne plus voir certaines personnes, gardez l’esprit ouvert et communiquez clairement ce que vous voulez.

5: Soyez flexible

Avant tout, soyez flexible. Après une séparation ou un divorce, vos amis vont inévitablement changer. Certaines relations vont s’arrêter, d’autres deviendront plus fortes. Restez flexible et réalisez que vos amis sont indépendants et qu’ils ont une vie en dehors de votre séparation.

Laissez-les vivre leur vie et profitez des amitiés que vous avez.

Rappelez néanmoins que même vos meilleurs amis peuvent faire des erreurs. Si vous avez un accord avec vos amis sur le fait que vous ne voulez plus voir votre ex à des évènements, essayez de vous adaptez. Les problèmes de communication, la confusion ou l’oubli peuvent vous amener à la même soirée que votre ex.

Restez positif, respectueux et de bonnes choses se passeront.

Surmonter une rupture

Ce n’est pas facile de surmonter une rupture. La meilleure façon de gérer vos amis communs c’est de leur communiquer vos attendes par rapport à votre ex et vous. Evitez de faire faire choisir des clans à vos amis, restez positif, acceptez les pertes, et soyez flexible.

Suivez ces conseils et continuez de profiter de bonnes amitiés pendant de nombreuses années avec vos amis en commun!

Famille recomposée : comment s’entendre avec tout le monde?

Famille recomposée : comment s'entendre avec tout le monde?

Tout le monde peut commencer une famille recomposée. Mais faire en sorte que tout le monde s’entende peut être un challenge!

Quand vous devenez le compagnon ou la compagne de quelqu’un qui a des enfants, c’est tout à fait normal de ressentir des émotions différentes. Vous être content à l’idée d’avoir ces enfants dans votre vie mais vous avez peur d’empiéter sur leur relation avec leurs parents. Vous avez peut-être peur quant à la manière dont vous allez élever ces enfants, ou anxieux de savoir s’ils vont s’entendre avec votre famille ou non. Votre priorité est surement de construire une relations aimante et respectueuse avec les enfants de votre partenaire.

Comme tout parent dans une famille recomposée, c’est à vous de construire votre relation avec les enfants de votre partenaire. Quelques stratégies et beaucoup de patience vous aideront à y arriver.

Fixer des limites claires et des attentes

Les enfants ont toujours besoins de limites pour se sentir en sécurité. Ceci vous évitera de devoir établir des règles ou de donner des punitions, ce qui peut créer des tensions.

D’abord, parlez avec l’autre parent du type de foyer que vous aimeriez créer. Faites une liste de règles qui sont importantes pour vous deux, et parler des conséquences en cas de non-respect de ce règlement.

Ensuite, parlez-en avec toute la famille. Donnez la chance à tout le monde de parler. Demandez aux enfants ce qu’ils attendent de vous afin de se sentir bien à cos côtés.

Idéalement, organisez des réunions familiales afin que chacun puisse exprimer ce qu’il ressent.

Tissez des liens individuels

Pour que toute la famille s’entende bien, concentrez-vous sur les liens individuels entre chacun. Trouvez des intérêts en commun que vous pouvez partager avec chaque enfant. Si un enfant aime le sport, achetez des billets pour aller voir un match de football. Si un autre aime lire, prévoyez de vous rendre régulièrement à la bibliothèque avec lui.

Si vous avez également des enfants, encouragez-les à tisser des liens avec leurs demi-frères et soeurs. Même si vous ne faites que demander à certains de venir avec vous faire les couses, donnez-leur un maximum de chance de passer du temps ensemble.

Trouvez du temps pour l’amusement

Rassembler deux familles et établir une nouvelle dynamique peut être stressant! Mais si au fil des mois les enfants vous voient uniquement établir des règles et tout faire pour qu’ils les respectent, ça ne les encouragera pas à avoir une relation respectueuse et aimante avec vous.

Trouvez des moyens d’apporter du bonheur et du plaisir dans votre famille. Annoncez une virée surprise à la mer, ou décidez que tous les premiers samedis du mois seront dédiés à des sorties familiales. Jouez à des jeux de société et demandez aux enfants de vous montrer leur film préféré, c’est un très bon moyen de leur montrer que vous vous intéressez à eux.

Donnez de l’espace aux enfants

Les enfants ont passé énormément de temps avec leurs parents avant que vous n’arriviez. Une partie du travail dans une famille recomposée est que vous vous respectiez mutuellement. Donc, soyez vigilant et donnez un maximum d’espace aux enfants et à votre partenaire afin qu’ils passent du temps ensemble. Encouragez-les à faire des activités juste entre eux afin de montrer aux enfants que vous n’essayez pas d’empiéter dans leur relation.

Il est également important de ne pas s’attendre à trop de choses au début. Normalement, les enfants vous feront confiance au fil du temps mais ne précipitez pas les choses. Cela peut prendre des années avant d’entretenir une bonne relation avec vos beaux-enfants. Il est donc important de garder à l’esprit que vous devez être patient.

2houses : premiers pas…

2houses l'app des parents séparés - premiers pas sur 2houses

Lorsque vous vous connectez pour la première fois sur 2houses, vous pouvez trouver le parcours laborieux. Nous allons vous aider à faire vos premiers pas sur 2houses.

Etapes 1 : inviter mon co-parent

Quand vous vous trouvez sur le Tableau de Bord, vous devez cliquer sur « Ma famille »

Une fois que vous avez cliqué sur « Ma famille« , vous arrivez sur une page avec les noms de chaque personne que vous avez renseignées sur le compte. Vous pouvez donner l’accès au co-parent en cliquant sur la clé à coté de son nom :

Ensuite, il vous suffit d’introduire son adresse email et de choisir si vous désirez lui écrire un message personnalisé ou pré-fait par 2houses :

Enfin, lorsque vous désirez vérifier si le co-parent a bien accepté votre demande, il vous suffit de retourner sur la page « Ma famille » et vous pourrez voir si l’invitation  a été acceptée ou non.

Etapes 2 : créer le planning de garde partagée

Lorsque vous êtes sur le Tableau de Bord, vous avez un onglet « Agenda » en haut, cliquez dessus :

Ensuite, une fois que vous avez cliquer sur l’agenda, vous sélectionner la sous-catégorie « Planning parentaux » :

Lorsque que vous avez cliqué sur « Planning parentaux« , vous arrivez sur une page qui vous propose de créer votre premier planning parental, cliquez sur ce bouton. Vous avez deux possibilités qui vous sont entourées ci-dessous :

Une fois que vous avez cliquer sur ce bouton, il ne vous reste qu’à choisir le type de garde qui vous correspond et le tour est joué!

Vous pouvez également composer votre garde parentale manuellement :

Etape 3 : créer un planning de vacances

Comme pour la création d’un planning de garde, rendez-vous dans la page « Agenda« , puis « Plannings parentaux » et enfin sur « Créer un planning parental » :

Ensuite, comme pour le planning « standard », vous devez sélectionner les enfants concernés si vous en avez plusieurs et sélectionner le mode « créer manuellement » :

Une fois cette opération faite, donnez un nom à votre planning et insérer la date de début et de fin. Ensuite, cliquez sur le premier jour de la semaine et dites chez qui l’enfant passera la nuit, répétez cette opération jusqu’à la date souhaitée. Si vous désirez ajouter une semaine supplémentaire, cliquez sur « ajouter une semaine« . Si ce calendrier ne se répète pas, appuyez sur « Ne se répète pas et s’applique jusqu’au…« , dans le cas échéant, appuyez sur « Se répète jusqu’au…« . Lorsque vous avez établi votre planning, cliquez sur « Créer ce planning parental » :

Ce calendrier s’affichera automatiquement à la date prévue.

Etapes 4 : créer une dépense

Lorsque vous êtes sur le Tableau de Bord, rendez-vous dans l’onglet « Finances » :

Ensuite, cliquez sur la sous-catégorie « Dépense » et ensuite sur « Renseigner une nouvelle dépense » :

Lorsque  vous êtes sur la création de la dépense, insérer le montant, la date et le motif. Ensuite, pour la catégorie, si vous , n’avez pos encore de catégorie, cliquez sur « Créer une nouvelle catégorie » :

Sur la création de dépense, renseignez un titre, le pourcentage, et si vous le désirez, une note explicative. Cliquez sur « créer une catégorie » :

Vous pouvez désormais remplir toutes les autres données de la dépense. Vous pouvez également attacher un fichier (la photo du ticket de caisse comme preuve par exemple) :

Si votre dépense est sujette à un remboursement externe (ex : mutuelle), cliquez sur « Fait l’objet d’un remboursement » et indiquez le bénéficiaire :

Enfin, lorsque vous avez cliqué sur « Renseigner cette dépense » et que vous avez renseigné un remboursement, revenez sur la page « Dépenses » et renseignez le montant via les doubles flèches :

Le système peut désormais calculer ce que el co-parent doit à la personne qui a introduit la dépense.

Etapes 5 : créer un évènement

Lorsque vous êtes sur le Tableau de Bord, cliquez sur l’onglet « Agenda » puis dans la sous-catégorie « Évènements » et puis sur « Créer un évènement » :

Lorsque vous avez cliqué sur ce bouton, vous arrivez sur la page de l’évènement. Remplissez les champs. Vous pouvez choisir que cet évènement soit récurrent :

Vous pouvez également choisir que cet évènement ne se passe qu’une seule fois :

Une fois que vous avez configuré votre évènement, cliquez sur « Créer l’évènement » :

Vous voici désormais apte à parcourir plus facilement les plateformes 2houses! 😉

Pour la version PDF imprimable :

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8 conseils pour réussir la garde alternée

2houses - web & application mobile pour divorce avec enfants - réussir sa garde alternée

La garde alternée d’un enfant, suite à la séparation de ses parents, ne peut être bien vécue si elle ne réunit pas certaines conditions.

1 – Une bonne entente parentale
Quand la garde alternée est le fruit d’une décision de justice, il est rare que les choses se passent sereinement. L’enfant devient l’enjeu d’une guerre entre les ex-conjoints.
Si les parents se détestent, l’enfant aura du mal à faire la synthèse entre deux mondes cloisonnés, il risque de construire sa personnalité sur un clivage. Comment s’épanouir dans de telles conditions ?
 » On peut ne plus s’aimer, explique Jacqueline Phélip, auteur du Livre noir sur la garde alternée, mais il faut garder une estime pour l’autre parent.  »
Une continuité psychique est nécessaire pour le bon développement de l’enfant. Ce dernier doit pouvoir se sentir libre de dire  » maman me manque  » quand il est chez son papa et  » je veux téléphoner à papa  » chez sa mère.

2 – Une coopération intelligente entre les parents
Les parents doivent veiller à être sur la même longueur d’onde en matière d’éducation. Il est bon que les règles soient les mêmes chez papa et chez maman. Il faut un lien entre les deux univers.
Les deux parents doivent avoir accès à la vie réelle de l’enfant, à tout ce qui s’inscrit dans son quotidien : aller le chercher à l’école, rencontrer la maîtresse, l’emmener chez son meilleur copain…
Il est bon d’instaurer les mêmes rythmes de veille/sommeil et les mêmes rituels de lever et de coucher. Le passage du doudou, qui sert de lien transitionnel, est très important pour une garde alternée réussie.

3 – La proximité géographique
Cette condition est essentielle à la réussite de la garde alternée. Si lesparents vivent trop éloignés l’un de l’autre, l’enfant ne peut pas suivre normalement son cursus scolaire. Pour que le quotidien soit gérable, mieux vaut vivre près de chez l’ex-conjoint. L’idéal étant d’habiter dans le même quartier, car l’enfant peut garder les mêmes copains, les mêmes repères.

4 – Une chambre pour l’enfant
Ce paramètre n’est pas essentiel, néanmoins, il est très souhaitable que l’enfant ait sa propre chambre. Il doit avoir le sentiment d’être chez lui chez chacun de ses parents.

5 – Le respect de la notion d’attachement
La notion d’attachement pour un bébé doit être respectée. Elle va de 0 à 3 ans environ. Certains spécialistes de la petite enfance préconisent d’attendre l’âge de 6 ans avant d’envisager une garde alternée, mais il est difficile de généraliser. Tout dépend de l’enfant.
Ce qui est sûr, c’est que le bébé ne doit pas être séparé de sa figure d’attachement, qui est généralement la mère (mais il arrive que le père se soit plus occupé du bébé et soit devenu son parent d’attache). Chez les plus jeunes, l’éloignement plus de deux jours de la figure d’attachement entraîne des troubles importants : réveils nocturnes, angoisses de l’abandon, troubles psychosomatiques, mal au ventre… Si un enfant présente ces troubles, il vaut mieux mettre fin à la garde alternée.

6 – La mise en place d’une formule souple
Dans l’idéal, les parents doivent rester à l’écoute des besoins de leurenfant et s’adapter à sa situation. Il faut éviter de mettre en place un système carcan. Les parents peuvent essayer une formule et en discuter ensuite pour voir si les choses évoluent bien, s’il y a des points à améliorer. Mieux vaut avoir la possibilité de moduler le calendrier en bonne intelligence.

7 – L’écoute de l’enfant
Quand l’enfant est en âge de formuler ses désirs, il faut entendre ses besoins. Certains adolescents préfèrent un rythme de 15 jours, moins contraignant. Vers l’âge de 9-10 ans, beaucoup de petits garçons ont besoin d’une plus grande présence paternelle. Il faut écouter ces demandes et adapter le rythme de garde.

8 – Sortir des combats idéologiques
L’obtention de la garde d’un enfant ne doit pas se transformer en revendication sociale.
Penser en termes d’égalité entre père et mère est une erreur, car il s’agit bien de complémentarité.

Un enfant a besoin de son père et de sa mère pour des raisons différents. On ne partage pas un enfant au nom de l’égalité.

par Marie-Lucie Vanlerberghe via Plurielles.fr

Maman ou papa divorce et «refait sa vie»

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Au moment où ses parents divorcent, un enfant a plus que jamais besoin de temps et d’attention. Et la formation rapide d’un nouveau couple est souvent un cap difficile à passer pour lui.

La séparation, le divorce. Une épreuve, un échec qu’on voudrait pouvoir toujours éviter. Et pourtant cette réalité fait malheureusement partie de la vie de beaucoup d’enfants. Ont-ils pu s’y faire, ces enfants qui, alors, avaient 3 ou 4 ans, 15 ans ou plus ? Ont-ils compris que leurs parents, à leurs yeux inséparables, ne s’aimaient plus ? Sont-ils convaincus de n’être pas coupables ? Surtout, ont-ils compris que, même divorcés, ceux qui leur avaient donné le jour restaient « pour toujours » leur père, leur mère ? Quoi qu’il en soit, avec l’arrivée chez eux du nouveau partenaire de leur parent, beaucoup de ces fils et filles « divisés » vont connaître un second bouleversement.

Car « la remise en couple d’un parent divorcé secoue toujours profondément l’enfant », constate la philosophe France Bonneton, qui a enquêté auprès de nombreux jeunes concernés par cette réalité. En effet, tout en signant la fin de l’espoir de réconciliation du couple parental, la perspective d’une nouvelle aventure conjugale pour un des parents inquiète l’enfant : « C’est qui cet homme, c’est qui cette femme ? Va-t-il, va-t-elle me plaire ? Et moi, quelle place vais-je avoir ? Devrai-je lui obéir ? Comment va-t-il me juger ? Et s’il a des enfants à lui ? Et si ce nouveau couple échouait aussi ? Comment mon autre parent va-t-il réagir ? »

Les uns, comme Carole qui avait 13 ans quand sa mère lui parla de son projet, ont si peur qu’ils préféreraient prendre la fuite, avant même la cérémonie des présentations : « J’avais deviné depuis longtemps que ma mère était amoureuse, explique-t-elle. Mais, je m’étais juré que si cet homme couchait dans le même lit que papa, je ferais une fugue pour ne pas avoir à le connaître. Ce que j’ai fait trois jours après son arrivée. » Les très jeunes enfants, parfois derrière le masque de l’insouciance, n’échappent pas à cette angoisse, semble-t-il. Ce que traduit la réflexion de ce jeune garçon de 5 ans à son enseignante de maternelle : « Papa est parti avec une autre dame. Et maintenant, maman aime un autre monsieur, et moi je vais rester tout seul… alors je veux rester à l’école avec toi. »

Les premières rencontres avec un beau-parent sont à vivre sur la pointe des pieds. Avec prudence et délicatesse.

Gérard Poussin, professeur de psychologie à l’université Pierre-Mendès-France à Grenoble, explique cette inquiétude par le sentiment d’appartenance que tout enfant éprouve vis-à-vis de ses parents. « Même séparés, ce sont « ses » parents. Si l’un part avec un autre partenaire, il se sent dépossédé, dit-il. Il éprouve un sentiment de perte et d’abandon. »

Autant dire que les premières rencontres avec un beau-parent sont à vivre sur la pointe des pieds ! Avec prudence et délicatesse. « Ce n’est pas toujours le cas, regrette France Bonneton. Au cours de mon enquête, j’ai souvent été effarée de voir à quel point les adultes, engagés dans leur nouvelle passion amoureuse, oublient leur responsabilité de parents. Trop souvent, ils sous-estiment le besoin d’écoute et de compréhension de leurs enfants. »

Même avis de Christine Brunet, psychologue clinicienne et psychothérapeute, qui insiste pour que le nouveau partenaire « ne débarque pas » du jour au lendemain dans la vie de l’enfant. « Seul moyen pour que les parents gardent aux yeux de l’enfant toute leur dignité,souligne-t-elle. Sans ce « sas », les enfants ont l’impression que leur parent pourrait désormais passer d’un amant à un autre et qu’ils les négligent. » Dans le même sens, Florence Cadier, qui, elle aussi, a rencontré de nombreux jeunes pour écrire un livre sur le sujet, témoigne du nombre important d’entre eux qui sont insupportés par « l’exhibitionnisme amoureux» de certains parents aux débuts de leur deuxième relation conjugale.

Pourtant, tôt ou tard, l’enfant doit accepter la situation. Les réactions sont alors multiples. À chaque famille, son histoire, son passé et ses possibles. Les enfants éprouvent des sentiments contradictoires : de l’hostilité franche à la méfiance en passant par la colère, la suspicion ou l’indifférence ou encore le sentiment de trahison ; mais aussi parfois l’espoir de réconfort et de consolation, l’envie de reconstruire une paix oubliée. Certes, l’âge de l’enfant joue. Apprendre quand on est un petit garçon de cinq ans qu’un « monsieur » qui n’est pas son papa va désormais vivre avec sa maman, qui, elle, reste sa maman pour toujours, ne pose pas les mêmes questions que de l’apprendre à 15 ans quand son propre regard est déjà attiré par les filles de son âge.

Parfois l’aide d’un tiers s’avère nécessaire pour que les uns et les autres s’apprivoisent et apprennent à vivre ensemble.

Faut-il en conclure qu’un cas est plus problématique que l’autre ? Les plaintes qui s’entendent sur les lignes du Fil Santé Jeunes, dans les centres d’écoute ou encore dans les cabinets « psy », montrent une réalité beaucoup plus complexe. En effet, de nombreux facteurs s’entrecroisent et se conjuguent, qui influencent ces premiers regards portés sur le nouvel arrivé. Ainsi, le beau-parent était-il déjà dans la vie de l’un des parents ? Des mensonges ont-ils couvert les amours cachés du parent divorcé ? L’entente avec le parent qui a été quitté est-elle bonne ou au contraire conflictuelle ? Les parents ont-ils su se séparer sans se déchirer, établir des relations responsables au sujet de l’enfant pour sa garde et l’exercice de l’autorité ? L’enfant est-il resté longtemps seul avec son parent ? Le beau-parent est-il lui aussi divorcé ? A-t-il des enfants ? Sans compter les situations extrêmes qui transgressent la symbolique générationnelle, comme celle dont témoigne Christophe, 28 ans : « J’avais 16 ans quand mon père s’est remarié avec une fille qui avait l’âge de ma soeur aînée. De ce jour, il a perdu toute mon estime et je n’ai jamais pu accepter ma belle-mère. »

Mais heureusement, dans d’autres cas plus favorables, le temps jouant, associé à la bonne volonté des uns et des autres, les relations peuvent évoluer dans le bon sens. Ce qui au départ était apparu insurmontable ne l’est plus. « Parfois l’aide d’un tiers, comme un thérapeute familial, peut être nécessaire, souligne Gérard Poussin. Pour que les uns et les autres s’apprivoisent, acceptent les changements d’habitudes et fassent les compromis inévitables de toute vie commune. »

Arrive le moment où chacun est assuré de sa place dans la nouvelle constellation familiale, où les droits et les devoirs de tous ont été reconnus, les règles de vie établies. Une nouvelle forme de vie familiale peut alors exister et de nouveaux liens se tisser. Avec, pour l’enfant, la certitude d’avoir gardé l’amour de ses parents et gagné la bienveillance d’un autre adulte. Pour le reste, c’est la capacité de chacun à bien vivre ensemble qui fera la différence. Comme dans toute famille.

 Par Agnès Auschitzka

Garde alternée : comment gérer l’argent de poche?

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On dit souvent qu’être parent ne vient pas avec un manuel. C’est principalement vrai si vous faites de la coparentalité après votre séparation ou votre divorce. La garde alternée veut dire travailler sur des problèmes autour de vos enfants chaque jour, pendant qu’ils vivent avec deux familles.

Un de ces problèmes est l’argent de poche. Même si les enfants ne reçoivent pas de salaire, ils reçoivent des petites sommes d’argent par leurs parents. Il est parfois difficile de trouver un accord quant à la répartition de cette dépense.

Il y a des marches à suivre générales que vous voudriez surement suivre, mais la clé est la communication. Connaître le point de vue de l’autre parent peur vous aider afin de décider ce qui est le plus équitable est mieux pour votre enfant.

Accords de séparation

La plupart des grands problèmes liés à l’argent sont couverts par un accord de séparation ou de divorce et par des règles sur la pension alimentaire. Mais l’argent de poche n’est pas vraiment pris en compte. En effet, dans certaines juridictions, l’allocation pour les enfants est exclue des dépenses spéciales et extraordinaires de la pension alimentaire.

Cela signifie généralement que les parents sont seuls, personne ne veut engager un avocat pour un cas d’argent de poche. Cela serait une perte de temps et d’argent, mais également du stress à l’enfant.

Cependant, certains coparents essaie de prendre une décision juste pour les dépenses des enfants. Par exemple, un parent peut prendre en charge les dépenses relatives aux assurances maladies. Il est important de parler ouvertement et calmement à propos des besoins des enfants.

Gérer l’argent

Un des principaux sujets de préoccupation est la manière dont les parents abordent le sujet de l’argent avec les enfants. Chaque parent peut avoir un point de vue différent. Et cette tâche est encore plus compliquée si un des deux parents a plus d’argent que l’autre.

Lorsqu’il s’agit de prendre des décisions sur l’argent de poche, de nombreux parents discutent d’abord de certains problèmes : Combien devrait recevoir l’enfant? A quelle fréquence? L’enfant devrait-il gagner cet argent en faisant certaines tâches?

Une fois que les parents sont sur la même longueur d’onde, il est plus facile de déterminer comment l’enfant devrait recevoir l’argent. L’étape suivante est de garder une bonne communication afin de savoir comment cela se passe dans chaque foyer.

Des circonstances spéciales

Les parents peuvent choisir de régler leurs frais régulièrement, mais certains évènements sont imprévus. L’enfant peut partir en voyage à la dernière minute et un parent peut prendre l’entière charge des coûts.

Ces coparents peuvent être en désaccord sur certains coûts mais en discutent afin de régler cette affaire. De cette façon, chaque partie peut subvenir aux besoin des enfants sans encombrer le coparent. Ils montrent également un respect mutuel en discutant calmement lorsqu’un problème survient.

Parler avec les enfants

Certains choisissent d’inclure les enfants dans les discussions d’argent. Souvent, ces conversations peuvent rappeler que les deux parents travaillent ensemble pour prendre les décisions. De cette façon, les enfants voient que leurs parents collaborent pour leur argent de poche même s’ils ne vivent pas ensemble.

L’aide de la technologie

A travers l’utilisation de 2houses, les coparents peuvent guider tous les problèmes liés à la garde alternée. Plus précisément, ils peuvent se connecter à chaque fois qu’ils donnent de l’argent de poche pour que l’autre partie reste informée de tout ce qu’il se passe de l’autre côté. Sur base des décisions prises par les parents, ils peuvent utiliser l’application pour diviser les coûts rapidement et facilement.