Premières vacances en parent solo

premières vacances en parent solo

Aujourd’hui en France, près d’une famille sur cinq est monoparentale. L’année de la séparation, les premières vacances sont à la fois attendues et redoutées. Avec d’une part, le besoin de se poser et de se retrouver avec les enfants et de l’autre, la nostalgie, la peur de la solitude. Quelques pistes pour profiter au mieux de cette parenthèse dans l’année, si nécessaire à toute la famille.

Après une séparation, ou un décès, le premier départ en vacances est celui de toutes les incertitudes, face à la nouveauté, à l’inédit de la situation. Serai-je à la hauteur ? Les enfants ne vont-ils pas s’ennuyer ? Comment surmonter la solitude, le soir venu, une fois qu’ils seront couchés ? Si le reste de l’année, les journées n’ont pas eu de mal à se remplir, tant le quotidien d’une famille monoparentale est souvent surchargé, les vacances vont à l’inverse laisser la place aux temps libres, et donc à la possibilité de se retrouver, de partager et de construire ensemble les fondations d’une nouvelle vie.

Tout comme le premier Noël ou les premiers anniversaires après une séparation, les premières vacances symbolisent la rupture et la nouvelle vie de la famille.

Lire la suite…

Anne-Laure Vaineau pour Psychologie.com

Famille recomposée : un beau challenge qui ne va pas de soi

famille recomposée pas aussi facile - 2houses

Les médias véhiculent souvent une image assez idyllique de la famille recomposée. Des personnalités en vue, dans les pages « people » des magazines, nous expliquent que dans leur tribu tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, aucun nuage à l’horizon !

Bien sûr il y a de beaux succès, et l’on s’en réjouit, mais quand même, on se demande pourquoi et par quel stratagème, recomposer une famille se devrait d’être complètement simple.

Car, et vous me pardonnerez cette « Lapalissade », avant une famille qui se recompose, il y a deux familles qui se décomposent. Et dans ces moments de séparation et de ruptures, personne n’est épargnée et chacun vit son lot d’émotions pénibles : tristesse, regret, ressentiment, culpabilité, agressivité, amertume… Les enfants sont bien secoués, leurs repères vacillent. Pour les plus jeunes les fantasmes d’abandon se réactivent avec plus ou moins de force et il faut accepter, assimiler, que quand on voit maman, on ne voit pas papa, et inversement.

C’est donc à la suite de toutes ces turbulences qu’une famille va se recomposer.

Beau challenge, plein de vie et d’espérance, mais où les différents protagonistes ne sont pas à égalité : Le couple qui se reforme est dans la joie et le projet. Les enfants qui sont nés de leurs précédentes unions les suivent sur un autre tempo et avec un enthousiasme mitigé. Ils doivent s’adapter, faire avec, et d’ailleurs ont-ils le choix ?

Lire la suite….

Béatrice Copper-Royer pour famille.blog.lemonde.fr

 

Se séparer… mais ne pas se quitter

Séparation - 2houses

Les psychologues sont souvent consultés à l’occasion des ruptures familiales provoquées par le divorce des parents, au moment de celui-ci ou après, à partir de difficultés exprimées soit par l’un ou l’autre des parents, soit par les enfants plus fréquemment, ou quelquefois avant, dans le souci d’une prétendue prévention.

« Je voudrais me séparer de mon mari et je voudrais savoir comment faire – ne pas faire – pour que cela se passe bien pour les enfants. »

Des couples viennent également, ensemble, au moment de la séparation, sur un mode « opératoire », chercher le mode d’emploi d’une rupture à l’amiable, simple, rapide et sans problème.

« Nous avons raté notre mariage, nous voulons réussir notre divorce ! »

« Nos enfants ne doivent pas en souffrir… Ils doivent seulement accepter l’idée que nous ne nous aimons plus… »

Ce genre d’expressions, que nous entendons souvent, comporte bien sûr une part de vérité… pour les adultes. Mais aussi une grande part de naïveté – ou d’hypocrisie –, dans l’absolu, au regard du cheminement affectif, familial et… judiciaire souvent, de la plupart des séparations conjugales quand les enfants y sont impliqués, malgré eux, et en vivent les conséquences au quotidien… et pour longtemps.

Lire la suite…

Francis Moreau pour famille.blog.lemonde.fr

Les 20 demandes d’un enfant de parents séparés

enfants de parents séparés - 2houses

« Chère Maman,  Cher Papa ,

N’oubliez jamais: je suis l’enfant de vous deux . Maintenant, vous ne vivez plus ensemble, mais j’ai besoin aussi bien de l’un que de l’autre.

Ne me demandez pas si j’aime plus l’un ou l’autre. Je vous aime tous les deux tout autant. Ne critiquez donc pas l’autre devant moi. Car cela me fait mal.

Aidez-moi à maintenir le contact avec celui d’entre-vous chez qui je ne suis pas. Formez son numéro de téléphone pour moi, ou écrivez-moi son adresse sur une enveloppe. Aidez-moi, à Noël ou à l’occasion de son anniversaire, de lui confectionner ou de lui acheter un beau cadeau. De mes photos, faites-en toujours une copie pour l’autre.

Conversez comme des adultes . Mais conversez. Et ne m’utilisez pas comme messager entre vous – encore moins pour des messages qui rendront l’autre triste ou furieux.

Lire la suite…

Ken pour JAFland

Dois-je laisser mon aîné jouer le rôle du père ?

rôle du père - 2hosues

La question :
Nous sommes séparés, ma femme et moi, depuis plus d’un an. En instance de divorce contentieux, mes trois garçons, 14 ans, 12 ans et 6 ans, sont sous la garde principale de leur mère. L’aîné joue le rôle du père et est flatté par sa mère quand il agit ainsi. Est-ce une bonne chose ? Quelles seront les conséquences pour lui-même, pour ses frères et en particulier le plus petit est anxieux face au comportement de l’aîné ? (Pedro, 42 ans)

La réponse de Catherine Marchi
Psychologue clinicienne

Il n’est jamais bon pour un fils adolescent d’occuper une place qui n’est pas la sienne. Un fils aîné n’a pas à « endosser » des responsabilités et une autorité qui ne lui reviennent pas. Occuper le rôle paternel revient à occuper symboliquement le rôle de « compagnon de maman ». Cette relation ambiguë avec sa mère n’est pas souhaitable pour un fils, de même qu’il n’est pas souhaitable qu’une fille aînée devienne symboliquement la « compagne de son père » (situation que l’on rencontre parfois lorsqu’un des deux parents décède).

Lira la suite…

Catherine Marchi pour Psychologies.com

La séparation peut devenir constructive

séparation peut devenir constructive - 2houses

Voir ses parents divorcer est toujours douloureux pour l’enfant. Mais avec quelques principes et beaucoup d’attentions, c’est un moment dont il peut sortir grandi.

Il arrive que les chansons sachent, bien mieux que les spécialistes, dire la détresse des enfants. Dans Double Enfance, Julien Clerc raconte l’histoire d’un petit garçon écartelé après le divorce de ses parents entre deux vies, elles aussi irréconciliables. Et conclut par cette phrase terrible : « Avant les autres j’aurais su que le seul sentiment qui dure c’est le chagrin d’une rupture ou je n’aurais jamais rompu. »

Un tel malheur est-il inévitable ? Non. Le divorce de ses parents est toujours pour un enfant une épreuve. Et cette épreuve est toujours, dans un premier temps, douloureuse. Mais elle peut très bien ne pas être destructrice. Et elle peut même devenir pour lui, si le divorce se passe (à peu près) bien et s’il est lui-même soutenu et accompagné, constructive.

Elle lui donne en effet l’occasion, d’une part, de mesurer la place qu’il occupe pour ses parents : être, lors de leur séparation, au centre de leurs préoccupations, l’assure à tout jamais qu’il compte. Et, d’autre part, de comprendre que, si les histoires d’amour ne sont pas éternelles, leur fin n’est pas pour autant une irrémédiable catastrophe, et que l’on peut, la tourmente passée, repartir vers la vie. Faut-il, pour qu’ils parviennent à ce résultat, que les parent soient Superman et Superwoman ? En aucun cas. Il faut seulement qu’ils essaient, malgré leur souffrance, de réfléchir – ensemble ou séparément – à quelques principes.

Lire la suite…

Caude Halmos pour Psychologies.com

Devenir beau-père ou belle-mère

Devenir beau-père ou belle-mère - 2houses

Choisir de former un couple avec une personne qui a déjà des enfants d’une précédente union n’est pas une décision anodine. Bien souvent, c’est plus qu’un couple qui se dessine, c’est une famille… recomposée. Comment aimer des enfants qui ne sont pas les siens ? Comment trouver sa place auprès d’eux et la faire respecter ? Quel rôle avoir dans leur éducation ? Pour vous aider à vivre au mieux vos premiers pas de beau-parent, nous avons exploré avec la psychologue Catherine Audibert les cinq grandes étapes de cette nouvelle vie.

Sommaire :

  • Prendre le temps
  • Trouver sa place de beau-parent
  • Être soutenu par son/sa partenaire
  • Comprendre les sentiments en jeu
  • Définir les rôles et les règles

Catherine Audibert, psychologue et psychanalyste, est notamment l’auteure de Oedipe et Narcisse en famille recomposés (Payot, 2009 et Le complexe de la marâtre (Payot, 2004).

Lire la suite…
Anne-Laure Vaineau pour Psychologies.com

Garde alternée : faites les bons choix

garde alternée - 2houses

Quand les parents se séparent, la question de la garde des enfants est inévitable. Beaucoup optent pour la résidence alternée, sans toujours en connaître toutes les implications.
Adopter le bon rythme, Prévoir les contraintes, Envisager la pension alimentaire, Partager ou non les allocations, Choisir ou pas le double rattachement à l’Assurance-maladie, Décompter les parts d’impôts…Toute une série de choses à envisager et à ne surtout pas négliger !

Adopter le bon rythme

La résidence alternée implique que les parents se partagent la garde de leurs enfants en alternant des périodes au domicile de l’un et de l’autre. Mais il n’est pas obligatoire que le temps passé chez chacun soit strictement égalitaire. Et encore moins de choisir un rythme d’alternance hebdomadaire du type « une semaine chez maman, une semaine chez papa », même s’il s’agit « d’une tendance forte […] perçue comme un rythme naturel », selon une enquête de la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf).

Lire la suite…

Nathalie Cheysson-Kaplan pour dossierfamilial.com

Présentation de l’équipe : Alexandra

nouveau membre de l'équipe de 2houses

Aujourd’hui nous vous présentons Alexandra qui a rejoint l’équipe 2houses le 12 novembre 2012 en tant que CRM & co. Alexandra a 36 ans et a décidé de quitter le monde de la sécurité informatique pour mettre son expérience professionnelle au profit de 2houses.

A l’inverse de certains de ses collègues, Alexandra n’est pas devant son ordinateur mais devant ses fourneaux ! Elle adore cuisiner et tester de nouvelles recettes ! Et quand elle n’est pas devant ses fourneaux, elle aime suivre des cours de danse en tout genre.

Nous avons posé quelques questions à Alexandra pour en savoir un peu plus:

2houses en un mot ?

Communication

Parfum de glace préféré ?

Banane

Si tu étais un crayon, de quelle couleur serais-tu ?

Rose, j’ai gardé mon esprit princesse de petite fille

Type de cuisine préféré ?

J’aime toutes les cuisines, je suis gourmande !

Rolling Stones ou Beatles ?

Beatles

Si tu étais quelqu’un d’autre, serais-tu ami avec toi ?

Oui je pense, mes défauts sont supportables 🙂

Le dernier film que tu as vu ?

Chloé

Un morceau favori ?

Get free de Major Lazer

Recette pour enfant de la Brioche des Rois

brioche des rois recette - 2houses

LA BRIOCHE DES ROIS

Il te faudra :

  • 35 g de beurre mou
  • 1/4 de litre de lait,
  • 25 g de levure de boulanger
  • 500 g de farine
  • 25 g de sucre
  • 1 œuf
  • 150 g de fruits confits
  • 1 fève
  • 10 gr de sel

Pour faire la pâte à brioche : bats l’oeuf avec le lait dans un saladier. Rajoute la levure du boulanger ainsi que le sel, le sucre, la farine et le beurre mou. Remue de façon à éviter les grumeaux.

Travaille la pâte en l’étirant. Il faudra la malaxer dans tous les sens avant de former une grosse boule. Pour t’aider, saupoudre ta table de farine.

Laisse reposer la boule de pâte pendant 1 heure. Elle devrait doubler de volume.

Forme de petites boules de pâte régulières. Mets-y la fève.

Graisse un moule à tarte rond avec un peu d’huile et dispose les boulettes en couronne dans le moule.

Demande à un adulte d’allumer le four, thermostat 3 – 150° C pour le préchauffer une demi-heure. Enfourne la brioche et fais cuire encore 15 minutes.

Pour finir, décore la brioche avec des fruits confits de toutes les couleurs.

Bon appétit !